#240: Stop les mensonges - Re: Re:  

Je te remercie de t’on invitation mais je vais la repousser, pour plusieurs raisons.

Les personnes que j’y rencontrerais m’apparaîtront ou pas, avec raison ou pas, comme des personnes sympathiques, demandeuses d’intégrations et de respect des valeurs et coutumes de notre pays ou simplement en transit pour un autre pays !

Mais où sera la vérité, là ou ailleurs ? Qui peut se faire garant de l’honnêteté de ces derniers…

Nous avons sous les yeux de nombreux et terribles exemples ou des personnes issues des mêmes chemins se sont comportées comme des véritables sauvages, commettant des actes de violences inouïes, d’autres en rétrogradant les femmes à un statut de gibier sexuelle portant un panneau marqué ‘chasse ouverte’ !

Bien sûr vous allez rétorquer qu’il s’agit de cas isolé, mais hélas pas tant que cela !

Soyons objectif, nous avons affaire à un brassage de gens, des gens biens, des fous religieux, des profiteurs et des sauvages !

Qui peut quantifier la proportion de chacune de ces personnalités dans le flux au nombre exponentiel d’individus que représente ces migrants !

Qui peut se donner le droit de favoriser la venue et l’implantation de ces populations à fort risques, qui mettent en danger les nôtres !

N’avez-vous pas une responsabilité dans l’évolution des fous religieux en favorisants la fuite des personnes modérées et en leur laissant ainsi des territoires vidés de toutes résistances ?

Un exemple catastrophique du ‘bien-pensant’ :

Nous l’avons vu à l’œuvre à une époque récente lors de l’ingérence dans des pays arabes sous dictatures, arrestation de Saddam Hussein, de Mouammar Kadhafi, pour les plus ‘célèbres’. Ces derniers étaient bien sûr des êtres abjects (je ne les traites pas de porc, j’aime trop ça pour les associer à eux) et j’étais le premier à soutenir leurs éliminations, mais au bilan qu’avons-nous fait, nul besoin de vous expliquer l’incroyable dérive intégriste qui s’en est suivi, et je ne voudrais pas connaître le ratio des victimes que nous avons sauvée par rapport aux victimes que nous avons créées suite à ces actions, je pense que mes nuits seraient bien moins douces !

Ne favorisez pas la désertion des gens biens qui sont les seuls à pouvoir inverser la montée en flèche des groupes comme Daesh et consort, que ce soit intellectuellement ou avec un bras armé, mais la liberté s’est toujours gagnée par des combats et hélas toujours sanglant, mais l’homme est ainsi depuis la nuit des temps et la fuite n’a jamais servis qu’un camp, celui du sauvage !

Ne laissons pas venir ces mêmes sauvages qui profites de ces flux pour ‘déplacer’ les gens biens et noyauter nos pays ou la liberté à encore un sens, bien que…

Alors je ne tiens pas à rencontrer vos 26 migrants parce que dans un cas comme dans l’autre ils ont eu tort de venir chez nous !

Merci d’avoir pris le temps de me lire !

#249: Enfant du pays - Re: Re: Re:  

 Je comprends votre point de vue ! Simplement, pour moi, il est plus légitime d'aider 99% de personnes dans le besoin incluant 1% de personnes malsaines (ces chiffres sont un exemple et ne sont pas issus de données réeelles évidemment) que de les enfoncer encore plus. Nous savons tous que le danger terroriste est présent et si nous stoppons les migrants, les attaques s'effectueront tout de même. De plus, en dehors de ça, les personnes qui migrent ne fuient pas tous daech. Ils fuient aussi la misère, le harcèlement dû à leurs façons de vivre et le réchauffement climatique. Toutes ces choses ne peuvent pas être combattues en face à face. Elles peuvent être gérées et minimisées à distance, en envoyant par exemple de l'argent à la famille restée sur place.

Quant à Alain DH, je ne prendrai même plus la peine de vous répondre.

#249: Enfant du pays - Re: Re: Re:  

 Et bien voilà qui aura, au moins, la vertu de savoir intelligiblement replacer le débat.

Mais en attendant, je ne me détache pas d'un autre pénible sentiment (un autre, comme si ça manquait): celui de savoir les quelques acteurs-décideurs de cette bien triste manoeuvre politico-politicienne se délecter, en silence, depuis leur perchoir, des effets  produits sur leur basse-cour et des intérêts divers et variés dont ils sauront tirer profit.