Conflit réglé entre la Ferme Jacques et Diane Rémillard et le Marché Jean-Talon
MONTRÉAL, le 31 août 2012 /CNW Telbec/ - La direction de la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal (CGMPM) et la famille Rémillard sont heureuses d'annoncer que le litige qui les opposait pour une question d'aménagement d'espace est enfin réglé. Une entente est intervenue entre les deux partis hier en fin de journée.

« Il s'agit d'une excellente nouvelle pour le Marché Jean-Talon et ses membres. Ce malentendu est maintenant chose du passé et nous pouvons désormais nous concentrer sur nos activités, en cette période faste de l'année », a soutenu le directeur général de la CGMPM, monsieur Marc Angers.

De son côté, monsieur Jacques Rémillard s'est dit heureux que le conflit soit réglé. « Ma passion dans la vie, c'est de cultiver ma terre. Je suis heureux de pouvoir me consacrer à servir mes clients et de leur offrir des produits de première qualité », d'ajouter monsieur Rémillard.

À propos de la CGMPM
La CGMPM est un organisme à but non lucratif fondé en 1993 et qui a pour mandat de gérer les infrastructures des marchés publics, propriété de la Ville de Montréal. La mission de la CGMPM consiste à « assurer aux Montréalais et aux Montréalaises un accès aux produits de la terre, dans des marchés publics qui correspondent à leur identité ». Elle est constituée de plus de 230 membres, producteurs, transformateurs, revendeurs, artisans et boutiquiers en affaires dans l'un des quatre grands marchés Jean-Talon, Atwater, Maisonneuve et de Lachine ainsi que dans douze marchés de quartier et aux fleurs.

SOURCE : CORPORATION DE GESTION DES MARCHES PUBLICS DE MONTREAL

Renseignements :
Jean Gagnon Doré
Directeur des communications
Corporation de gestion des marchés publics de Montréal
Tél. : (514) 937-7754 (bur.)
Cell. : (514) 268-8400 (cell.)

#103: Rh - Fin du conflit:

Monsieur Gagnon Doré, avez-vous bien lu le libellé de cette pétition? Vous dites avoir "réglé" le conflit avec la famille Rémillard. Fort bien (j'allais dire : enfin)! Mais l'essentiel de la pétition, l'auriez-vous manqué, concerne la question de l'étiquetage; et là, cher Monsieur, on est loin du compte.

Maintenant que "l'affaire Rémillard" est réglée, allez-vous vous attaquer à l'étiquetage?

Pourquoi la Corporation ne met-elle pas en place un système d'affichage CLAIR qui permettrait aux clients de connaître à la fois la provenance de ce qu'ils achètent et, surtout, le statut des personnes qui leur offrent leurs produits? Les petites affiches avec photos qui sont récemment apparues sont loins d'être suffisantes. Comprenez-moi bien : je n'ai rien contre les revendeurs, au contraire, je m'y approvisionne tout l'hiver. Je veux simplement savoir qui fait quoi pour pouvoir mes achats de façon responsable.

Autre suggestion : on m'a dit que les producteurs de pommes avaient une réglementation concernant la mise en marché des variétés de pommes (pas le droit de vendre la variété Lobo avant telle date, par exemple). Pourquoi n'en serait-il pas ainsi concernant les produits locaux ? Par exemple, pourquoi ne pas interdire la vente d'ail de Chine, de melons de la Californie, au moment où la production locale bat son plein?  N'est-ce pas là une bonne façon d'encourager les petits pfoducteurs locaux, ce qui, si je me fie à ce qui est écrit sur le site web des marchés publics, est précisément la mission de la Corporation.