Pour que Georges-Louis Bouchez… se taise.

Le deux poids deux mesures du “soutien populaire” selon Georges-Louis Bouchez

Il y a quelque chose de profondément déconcertant dans la manière dont Georges-Louis Bouchez utilise, ou plutôt instrumentalise, la notion de “soutien populaire”.
D’un côté, 140 000 personnes descendent dans la rue pour protester contre les conséquences concrètes des politiques de son gouvernement — des mesures qui touchent directement le quotidien de centaines de milliers de citoyens. La réponse ? “Cela ne représente rien.”

De l’autre côté, lorsque Bouchez lance une pétition pour demander le retrait d’une crèche à Bruxelles, un sujet dont l’impact réel sur la vie de la grande majorité de la population est quasi nul, il se félicite immédiatement d’un “soutien massif” pour 25.000 signatures.

Une crèche, objet d’un débat identitaire artificiel, devient soudain “une priorité nationale”, alors que les préoccupations bien plus urgentes — pouvoir d’achat, services publics, logement, énergie, santé — sont minimisées quand elles ne l’arrangent pas.

Ce contraste met en lumière un problème plus vaste :
➡️ Le poids politique qu’il accorde à l’opinion publique dépend uniquement de sa propre narration.
➡️ Quand les citoyens expriment un désaccord massif : “ça ne compte pas”.
➡️ Quand une minorité valide son agenda : “c’est la voix du peuple”.

Cette manière de détourner la notion de “légitimité populaire” fragilise le débat démocratique.
L’opinion publique n’est pas une variable d’ajustement pour communications opportunistes.
Soit elle compte toujours, soit elle ne compte jamais — mais pas seulement quand cela sert une stratégie médiatique.

Ce double standard interroge.
Pas seulement sur une crèche ou une manifestation.
Mais sur notre capacité collective à reconnaître ce qui est réellement essentiel pour les citoyens, et à distinguer les enjeux de société sérieux des polémiques gonflées pour occuper l’espace médiatique.

Puisque GL Bouchez semble donner autant d’importance aux pétitions, montrons -lui, en signant celle ci que nous condamnons la politique de son gouvernement. Si on dépasse le nombre de signatures que celle de la crèche de la Grand Place, peut être reconnaîtra t il « l’élan populaire ».

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