La sécurité nation ale est en jeu Paris à été la. Première cible...mon amie est tomber en amour en Tunisie et ça fait 6 ans qu'ils sont marier....pas mal plus que bien des québécois !!!! Il n'a jamais pu s'installer ici au Québec avec sa femme...mais vous être prêt et disposer à accueillir des syriens 25000 aiors que le Québec affiches un taux de chômage et que moi pour ma part même en ayant de l'éducation je me fais bumper par des immigrant pcq ça coûte moins cher...je reste en Gaspésie la vie est dur ici et quand il y a une job on se l'arrache... Alors que la sécurité nationale est en jeu je crois que je me trompe pas que le Québec veut rien savoir de recevoir ces 25000 immigrants...qui vivront à notre crochet nous les contribuables pendant qu'on travaille comme des malades on ne voit plus nos famille nos enfants sont élevé par des étrangers on ne s'amuse plus on vit pour travailler à des salaires qui ne reflètent pas du tout le coût de la vie ...25000 immigrants dont certains sont des terrorisme... Non mais le gouvernement as tu une cervelle ? Réfléchissez dont a ceux qui se battent chaque jours juste pour réussir à s'alimenter ou à garder leur travail aux québécois qui perdent tout à la suite d'un i cendie ou ceux qui sont pu capable de subvenir aux besoins de leu famille et pire ceux qui se battent pour leur vie et qui n'ont pas les moyens de se faire traiter.... Je demande au gouvernement de bien réfléchir car je suis certaine que si 25000 syriens rentre au Québec il vas avoir des conséquence graves. Ils ne sont pas la bienvenue.
Merci

#127: -  Si tu t'informerais les 25000 sont au travers du canada, mais de toute façon on a toujours reçu des réfugiers.Ainsi je te ferais remarquer le problème est mondial pour les emplois.Mais pense un peu svp qu'avant tout ce sont des humains comme toi et moi .Pause toi donc la question si tu aimerais qu'on tu juge comme ils sont juger met toi à leur place SVP.Je te ferais remarquer qui est arrivé au parlement ainsi à St-jean c'étais des quebecois de souche qui ont fait des Jiad sans à ce qu'il comprène ce qu'ils faisaient.