Manifeste des parents aliénés - Belgique 2012

A tous nos dirigeants, élus et futurs élus, nous tenons à dire ce qui suit :

 

Nous n’acceptons plus d’être humiliés, culpabilisés et écartés de la société, pas plus que nous ne tolérons les dérives sexistes et consuméristes qui motivent cette discrimination.

 

Nous ne tolérons plus que nos enfants soient exposés dès leur plus jeune âge à des disparités de traitement au chromosome, de voir nos garçons deux fois plus sanctionnés que les filles, de les voir deux fois plus nombreux en décrochage scolaires dégoûtés et démotivés (souche de délinquance).

 

Nous ne tolérons plus la discrimination positive dont jouissent indument  les parents aliénants dans les affaires familiales et leurs corollaires. Nous ne supportons plus d’être évincés de la vie de nos enfants, secondarisés en payeurs de rançon pour des enfants qu’on ne peut plus voir et dont on s’efforce de nous priver, bref d'être considérés comme de simples géniteurs(trices). Nous avons des devoirs mais aussi des droits à faire valoir (ex.personnel : 10 ans de pensions alimentaires payées sans pouvoir voir mon fils car selon la Justice, le syndrome d'aliénation parentale n'est pas officiellement reconnu ).

 

De la même façon nous nous révoltons contre les diverses primes à la délinquance parentale dont les mères (ou pères) profitent par l’absence de sanction lors de non représentation d’enfant, d’éloignement géographique volontaire, plaintes calomnieuses pour nous écarter de nôtre rôle.

 

Nous réclamons le respect du code civil par les deux sexes et sa juste application par les magistrat(e)s. Le code civil doit cesser d’être lu en rose vif sur bleu éteint !

 

Nous souhaitons la parité complète dans l’éducation nationale, les services sociaux, les affaires familiales.

 

Nous exigeons que nos enfants bénéficient de la résidence alternée généralisée avec peines d’emprisonnement pour le parent y faisant obstacle par dilatoire; en cas d’impossible, la résidence sera fixée prioritairement chez le parent aliéné.

 

Nous préconisons fortement l’abandon du magistrat unique dans des affaires où le sort de l’enfant est en jeu, remplaçant cette mascarade par des tribunaux collégiaux et paritaires , aidés de jurys également paritaires et collégiaux composés de membres d’associations parentales, le tout en audience publique, seuls les contentieux matériels pourront être traités à huis clos par un magistrat unique.

 

Nous souhaitons l’ouverture d’assises parentales pour mettre un terme aux dérives des abus de placement d’enfants et de la corruption régnant autour de la souffrance infantile et parentale. Ce manifeste fait l’objet d’une mise en pétition publique, où tout parent et citoyen responsable est invité à souscrire.

 

Nous nous rapprocherons d’autres mouvements de toute nature et de toute ethnie, visant à délivrer l’humain des cartels financiers et industriels qui l’oppresse, nous communautariserons nos combats avec d’autres mouvements minoritaires et chercherons en Belgique ou à l’étranger les soutiens nécessaires à ce que notre cause soit entendue.

 

Une société sans pères (mères) est une société sans repères, un peuple sans espoir, asservi aux tenants du marché, une dégénérescence pour l’avenir du pays et de l’espèce humaine.

 

Les droits des citoyens des deux sexes se sont acquis au prix du sang masculin, non avec des défilés tits show devant les médias asservis !

 

Merci à vous d'en avoir pris connaissance et conscience.

 

Jean-Luc PIRNAY, père aliéné, indigné et révolté !