Pétition pour le démantèlement de trois pylônes de téléphonie mobile route de Genval à Lasne sur le site du Rulo.

Pétition pour le démantèlement de trois pylônes de téléphonie mobile route de Genval à Lasne sur le site du Rulo.IMG_20201231_123253.jpgIMG_20201231_123713.jpg

Depuis peu, deux nouveaux pylônes sont apparus sur le site du Rulo à Lasne.

La région Wallonne a délivré un permis pour ces deux pylônes en avril 2018 à la société Ericsson pour Orange et Télénet alors que le premier avait été délivré en 2001 pour Belgacom.

Ces pylônes se situent à proximité de deux écoles maternelles et primaires (Montessori et Ecole Ouverte) et d’une crèche (La Récré), c’est-à-dire dans un rayon de moins de 300 mètres.

Les rayonnements mesurés sur un de ces sites montre des valeurs excessives aussi bien dans les bâtiments que à l’extérieur de ceux-ci.

De nombreuses études prouvent la nocivité de l’exposition à ces rayonnements, Il est devenu incontestable que l’exposition à long terme mais aussi à court terme à ces rayonnements cause des risques pour la santé (cfr documentation ci-dessous). Il est aussi démontré que ce sont les enfants qui sont les plus exposés aux effets de ces rayonnements.

Des études démontrent l’augmentation de cas de cancers près des antennes de téléphonie mobile.

Nous récusons de la manière la plus formelle le choix du site d'implantation qui est trop proche des lieux mentionnés, fréquentés notamment par de jeunes enfants.

Nous demandons aux autorités compétente de faire retirer ces antennes dans les plus brefs délais, dans un souci de précaution, afin de ne pas soumettre les enfants à ces rayonnements.  

Informations complémentaires :   

Le rapport bio initiative contient de nombreuses informations sur l’effet des rayonnements de micro-ondes sur la santé.

https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2015/11/bioinitiative_vf-3.pdf  

Le site Robin des toits contient lui aussi de précieux renseignements sur le sujet

 https://www.robindestoits.org/ ·   

Et par exemple sur les antennes :

https://www.robindestoits.org/tags/antennes%20relais%20cancer/  

Un article décrivant l'action d'enfants qui s'opposent à l'installation d'une antenne près de leur école pendant le confinement :

  https://reporterre.net/Antennes-telephoniques-des-enfants-italiens-invoquent-le-principe-de-precaution   

Un autre article sur le refus d’antennes près des écoles au Canada, où il est écrit notamment : « Des antennes situées près d'écoles ont été retirées à Lyon, après des cas de cancers. La Ville de Paris songe à les interdire près des écoles. La Finlande les interdit à moins de 300 mètres des écoles. Hors de l'Europe, Israël vient d'adopter une loi interdisant les antennes sur les écoles.

Une nouvelle étude, réalisée à l'Université catholique de Louvain (Belgique), révèle que le taux de mortalité était deux fois plus important chez des rats exposés à des niveaux réglementaires d'ondes pulsées (antennes, Wi-Fi, etc.) que dans un groupe témoin. » 

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/200808/29/01-20340-des-antennes-dangereuses-dans-les-clochers-.php·

 Des études qui montrent des augmentations de cas de cancer près des antennes, par exemple sur le site de nextup… 

http://www.next-up.org/Newsoftheworld/ClustersEmfCem.php     

TOXICITE

Tout d’abord, ces rayonnements sont hautement toxiques pour la santé de tous les riverains. A ce jour, on ne peut plus le nier. Le site https://www.robindestoits.org/contient de nombreuses informations et documents à ce sujet : articles scientifiques, résumés d’études, études, témoignages, … Le rapport Bio initiative démontre clairement les effets néfastes de ces champs électromagnétiques sur la santé. Il détaille les preuves scientifiques soulevant de sérieuses inquiétudes notamment au sujet de leur génotoxicité et du développement de cancers.

http://www.bioinitiative.org/report/index.htm

De nombreuses recherches ont prouvé qu'à de très faibles fréquences, les rayonnements micro-ondes entraînent des troubles neuro-endocrino-immunitaires. A cela, il faut ajouter des effets promoteurs ou co-promoteurs de cancers, comme le confirment un nombre croissant d'études.

A ce jour, peuvent être considérés comme indubitablement prouvés : des dommages génétiques et une augmentation des cancers, notamment des tumeurs au cerveau et leucémies,  l’altération des ondes cérébrales de l’EEG, des dommages neuronaux et une modification de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau contre les toxines et les substances chimiques nocives, d’indéniables ruptures d'ADN et la dégradations de génomes (projet européen Reflex), la perturbation des fonctions motrice, de mémoire et d’attention chez des enfants, une baisse de la fertilité, etc. 

Les études épidémiologiques le confirment : une étude a révélé une augmentation de quatre fois de cas de cancers chez les personnes vivant dans un périmètre de 350 mètres autour d'une antenne relais installée depuis plusieurs années (Wolf D. et D.). Par ailleurs, après 10 ans, le risque relatif de contracter un cancer a triplé pour les habitants les plus proches d’une station relais en Allemagne (Etude de Naila, 2004).

Des chercheurs ont également recensé des plaintes dans le voisinage d'une antenne, concernant principalement le système cardiovasculaire, mais aussi les dommages suivants : perturbations du sommeil, irritabilité, dépression, troubles visuels, difficultés de concentration, nausées, manque d'appétit, maux de tête et vertiges (Bortkiewicz A et al.).

A une distance de 80 mètres d’une antenne relais, des changements significatifs de courants électriques ont été observés dans le cerveau des personnes testées (par EEG).

  ELECTROSENSIBILITE

Il semble que 3 à 5 % de la population souffre d'hypersensibilité électromagnétique. Ces personnes développent des réactions physiologiques même lors d’expositions à des champs électromagnétiques de faible intensité.  

DES MEDECINS REAGISSENT

Voici des extraits de l’appel des médecins de Fribourg en 2002 (plus de 36.000 signatures) : « Nous constatons ces dernières années une augmentation dramatique de maladies graves et chroniques, en particulier : troubles de l’apprentissage, de la concentration et du comportement chez les enfants, troubles de la tension artérielle, troubles cardiaques, infarctus et accidents vasculaires cérébraux, maladies cancéreuses telles que des leucémies et des tumeurs au cerveau ».

Ils constatent également « l’apparition de différents troubles souvent interprétés à tort comme psychosomatiques, tels : maux de tête et migraines, fatigue chronique, insomnies et asthénie, …Nous apercevons toujours plus souvent – après un interrogatoire à but précis- une relation claire dans le temps et dans l’espace, entre l’apparition de ces maladies et le début de l’extension de l’irradiation par des ondes radio, par exemple : l’installation d’une antenne relais de téléphonie mobile dans les environs du domicile du patient, l’utilisation intensive d’un téléphone portable, l’utilisation d’un téléphone sans fil des standards DECT dans la maison du patient ou dans le voisinage. Nous ne pouvons plus accepter l’hypothèse d’une coïncidence ou de l’effet du hasard. »

DISPOSITIONS LEGALES

La lecture du résumé de ces études est édifiante. On est bien en droit de refuser d’être soumis à des rayonnements produisant de tels effets. Outre le droit au respect de la vie privée et familiale, prévu par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, nous invoquons également le droit au respect de l'intégrité physique, ainsi que les articles 2, 3 et 4 de la loi du 12 juillet 1985 relative à la protection de l’homme et de l’environnement contre les effets nocifs et les nuisances provoquées par les radiations non ionisantes, les infrasons et les ultrasons.  

VOTRE RESPONSABILITE

Au vu des effets biologiques néfastes causés par les rayonnements micro-ondes, même à faible intensité, l’installation de cette antenne engage votre responsabilité. Ce n’est pas pour rien que des compagnies d’assurance excluent aujourd’hui de leurs contrats de responsabilité civile la couverture des risques associés à ces champs électromagnétiques. Les dommages causés par des rayonnements Gsm sont indéniables et prouvés. A noter que les nombreuses études qui partout dans le monde, démontrent des effets toxiques, n’ont pas été invalidées. La proximité d’une crèche et d’une école aggrave encore le risque. En effet, la pénétration de ces ondes est encore plus forte dans le cerveau des petits enfants.

Selon la littérature scientifique, ce sont les enfants qui sont les plus exposés aux effets de ces rayonnements.   Voici des extraits d’appels de médecins, ainsi que le résumé d’études sur les effets biologiques d’une exposition aux ondes hyperfréquences de faible intensité (micro-ondes : Gsm, Wifi…). Certaines études mentionnent seulement les signaux Gsm mais renseignement pris auprès d’un spécialiste mondialement connu, les signaux Wifi sont de même nature que les signaux Gsm.    

-        Appel des médecins de Fribourg (2002) :

            « Au cours de nos prestations auprès de nos patients, nous constatons ces          dernières années une augmentation dramatique de maladies graves et                chroniques, en particulier :  

  o   Troubles de l’apprentissage, de la concentration et du comportement chez les enfants (enfants hyperactifs par exemple),

  o   Troubles de la tension artérielle

  o   Troubles cardiaques

  o   Infarctus et accidents vasculaires cérébraux

  o   Maladies à dégénérescence neurologique (Alzheimer par exemple) épilepsies,

  o   Maladies cancéreuses telles que des leucémies et des tumeurs au cerveau  

Nous constatons de plus l’apparition de différents troubles souvent interprétés à tort comme psychosomatiques, tels :  

  o   Maux de tête et migraines,

  o   Fatigue chronique

  o   Inquiétude intérieure

  o   Insomnies et asthénie

  o   Acouphènes

  o   Prédispositions aux infections

  o   Douleurs nerveuses et douleurs dans les parties molles, que l’on ne peut expliquer par des raisons normales  

Les symptômes mentionnés ne sont que les plus frappants.  

Etant donné que nous connaissons l’environnement résidentiel et les habitudes de nos patients, nous apercevons toujours plus souvent – après un interrogatoire à but précis- une relation claire dans le temps et dans l’espace, entre l’apparition de ces maladies et le début de l’extension de l’irradiation par des ondes radio, par exemple :  

-        l’installation d’une antenne relais de téléphonie mobile dans les environs du domicile du patient,

-        l’utilisation intensive d’un téléphone portable

-        l’utilisation d’un téléphone sans fil des standards DECT dans la maison du patient ou dans le voisinage  

Nous ne pouvons plus accepter l’hypothèse d’une coïncidence ou de l’effet du hasard. »  

-        Idem appel de Bamberg en mai 2004

-        Idem appel de médecins et chercheurs finlandais aux Membres du Parlement Européen  

- CSIF – CEM (Comité Scientifique sur les Champs Electromagnétiques :

« En 2002 il n’est plus possible de dire que les antennes-relais (NB : idem pour le WIFI) ne représentent pas de danger pour les populations voisines, les puissances des micro-ondes pulsées de la téléphonie mobile présentant des effets néfastes sur la santé sont largement de l’ordre de ce que les riverains de stations-relais reçoivent en permanence, les publications récentes montrant de plus en plus qu’il y a une action plus importante lors d’exposition à long terme.

A partir du moment où des effets non thermiques ont été prouvés en 2002, il est évident que malgré leur « faible » puissance les antennes relais représentent un danger. Le caractère pulsé et la présence d’ondes de basses fréquences renforcent ce risque. (…) Ainsi, avec les connaissances scientifiques actuelles, cette technologie ne pourrait pas se développer aujourd’hui mais le problème réside dans le fait qu’elle existe. Avec des valeurs maximum d’exposition de 0,2 v/m, on peut éviter le développement d’un grand nombre de pathologies.

Le monde médical doit le dire, à l’instar de ce que font les Allemands de l’IGUMED, et c’est au monde politique d’approcher au plus près de ces valeurs, ce n’est pas à la population de payer le prix des incertitudes passées avec des 41 v/m ou d’accepter 6v/m ou 3v/m qui ne représentent aujourd’hui rien d’autre qu’une concession au monde industriel. (…)

Il sera peut-être difficile d’arriver à la valeur de 0,2 v/m en particulier en ville, mais est-ce une raison pour que le monde médical n’avertisse pas le public des risques de façon à apprendre à s’en prémunir, à ne pas en rajouter ? (Téléphones sans fil DECT, systèmes de réseaux hertziens, systèmes d’alarmes, systèmes WI-FI et Blue Tooth, émissions des écrans vidéos…)  

A quoi correspond le fait de se préoccuper du cancer et de sa prévention si en même temps on impose à la population une technologie reconnue comme génotoxique, donc mutagène ?  

Le monde médical doit crier haut et fort la réalité ! Si des technologies mettent en péril la santé des individus, cela doit être en toute connaissance de cause, le consentement doit être un consentement éclairé.  

Comment accepter aujourd’hui que l’homme subisse des ondes modifiant l’activité de son cerveau, modifiant les phases de son sommeil, sans qu’il puisse intervenir ? »  

- Dès 1998, des scientifiques de divers pays, réunis à Vienne lors du Symposium « Mobile Phones and Health » (attention, c’est valable aussi pour le WIFI : ces ondes de même nature) : révèlent que les effets biologiques résultant d’expositions à faible intensité sont scientifiquement établis et estiment que le public devrait participer aux décisions concernant les limites d’exposition et les implantations des émetteurs  

- Naila Studie, 2004 : étude épidémiologique menée par des médecins autour d’une station de base en Allemagne : après 5 ans de fonctionnement de l’émetteur, le risque relatif d’être nouvellement atteint par un cancer a été triplé pour les habitants les plus proches de la station relais par rapport à un groupe de population habitant à une plus grande distance (attention, ondes gsm et ondes wifi sont de même nature)  

-    National Institute of Environmental Health Sciences, Leif Salford (Département de neurochirurgie de l’hôpital de l’université de Lund, Suède), 2003 : « Nous avons trouvé, et présentons ici pour la première fois une preuve hautement significative de dommages neuronaux à la fois au cortex, l’hippocampe et ( ?) basal ganglia) dans les cerveaux des rats exposés (exposition à des rayons électromagnétiques de micro-ondes)….

Le résultat semble indiquer un dommage sérieux aux neurones. Un tel dommage aux cellules nerveuses peut ne pas avoir de conséquences immédiatement démontrables, même s’il est répété. Par contre, il pourrait, à long terme, résulter en une diminution des capacités du cerveau qui pourrait se révéler lors de l’apparition d’autres maladies nerveuses…

Il précise : « si ces effets sont transférés sur les jeunes humains, les effets peuvent être terrifiants » Il met aussi en évidence la modification de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau contre les toxines et les substances chimiques nocives.  

-    Une étude du finlandais Leszczynski démontre que des centaines de substances chimiques agissant dans des cellules du cerveau humain peuvent être altérées par les micro-ondes.  

-    Une exposition prolongée aux radiations émises par les GSM ou les antennes (ou wifi) peut détruire des cellules dans des parties du cerveau responsables de la mémoire, du mouvement, de l’apprentissage. Des scientifiques avertissent que cela pourrait causer l’apparition précoce de maladies nerveuses comme l’Alzheimer.    

-        Etude REFLEX financée par la communauté européenne : les résultats connus ont déjà montré des preuves d’effets génotoxiques de ces radiations  

-          Résolution concernant les Stations de Base de Télécommunication Mobile (2000) : des scientifiques de renommée internationale recommandent l’information préalable et la participation active du public local, la protection de la santé et du bien-être, le calcul et la mesure de l’exposition, la prise en considération des sources existantes d’exposition aux champs de hautes fréquences, l’exploitation de toutes les possibilités techniques pour assurer une exposition aussi faible que possible. Ils précisent qu’ « il est actuellement évident qu’il n’y a pas de seuil pour les effets nocifs pour la santé ».  

-        Kwee (97) démontre des changements dans le cycle cellulaire et la prolifération des cellules  

-        Von Klitzing (1995) prouve l’altération des ondes cérébrales de l’EEG. Influence des signaux biologiques de l’activité cérébrale. Il a effectué des tests à des niveaux énergétiques d’un ordre de grandeur 10 000 fois inférieur à celui des normes de sécurité et constate un effet sur l’EEG, dû aux caractéristiques de la modulation (ondes pulsées en basse fréquence). Les normes de sécurité ne prennent pas en considération ce qui se passe pendant les expositions continues de longue durée subies dans les environs des stations de transmission des systèmes GSM, DECT (idem pour le WIFI).

Les petits enfants sont très sensibles à ces émetteurs jusqu’à des densités très faibles.  

-        Dr Santini (2000 et 2001) mentionne les principaux effets du syndrome des micro-ondes : fatigabilité, irritabilité, céphalées, nausées, anorexie, effets cardiovasculaires, somnolence, insomnies, perturbations de l’activité électrique cérébrale et de la qualité du sommeil paradoxal, effets sur la pression artérielle et risques cancérogènes, difficultés de concentration, manifestations cutanées, modifications de la formule sanguine (taux élevé de lymphocytes), perturbations de l’életrectroencéphalogramme, atteinte d’organes des sens (vision, ouïe, odorat),  

-        Etude du TNO réalisée pour le Gouvernement hollandais a montré des effets perturbateurs sur les personnes exposées à un niveau de rayonnement de 0,7 v/m et ne dépassant jamais 1v/m (pour une exposition de seulement 45 minutes). Effets sur la sensation globale de confort et sur l’activité du cerveau. Montre aussi la très grande inégalité des êtres face à cette agression des champs électromagnétiques.  

-        Etude de R. Santini (2004) : référence aux constats de trois études sur les riverains d’émetteurs : augmentation significative de la fréquence de certaines plaintes pour les riverains proches d’émetteurs : irritabilité, tendance dépressive, perte de mémoire, difficultés de concentration, vertiges, maux de tête, perturbations du sommeil,  …  

- Kolodynski (96) : les fonctions motrices, de mémoire et d’attention sont affectées chez des enfants à l’école par une exposition de 0,78 v/m   - Magras (97) : des expériences sur des souris démontrent une baisse de la fertilité et un changement dans le développement prénatal  

- D’Inzeo (88) : l’exposition à des micro-ondes provoque des transferts d’ions dans les cellules   - Chiang (89) : modification des temps de réaction visuelle et sur la fonction de mémoire des enfants  

-        Le doyen de l’école de santé publique de l’université de New York déclare : « je crois que 30 pourcent des cancers chez les enfants sont associés à l’exposition EMF » (aux champs électromagnétiques)  

-        D’autres chercheurs confirment le lien entre l’utilisation de GSM et/ou l’exposition aux radiations provenant des antennes relais et le développement précoce de la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies.  

-        Une université hongroise estime que les micro-ondes pourraient diminuer la fertilité masculine d’un tiers  

-        Une étude du Docteur Carlo (épidémiologiste) démontre la présence de dommages génétiques causés par les micro-ondes.  

-        Rapport de Monsieur Danze fait l’inventaire des recherches et de leurs résultats en 2000 et met en évidence : syndrome pathologique des fréquences radio micro-ondes, effets neurologiques, ruptures de chaînons d’ADN, action perturbatrice de la barrière hémato-encéphalique ainsi qu’une incidence accrue des leucémies infantiles à proximité d’émetteurs TV  

-        Etudes du professeur Vandervorst ; « il est scientifiquement prouvé que les champs de micro-ondes pénètrent dans les tissus biologiques exposés, où l’énergie est convertie en chaleur. »  

-        W. Scherer démontre l’existence de dommages aux organes de la vision.  

-        IDEA (Irish Doctors’Environmental Association) : position on EletroMagnetic Radiation (2004) : souligne que ces ondes ont des effets thermiques et non thermiques, que des personnes plus sensibles se plaignent de symptômes dont la nature, l’intensité et la durée sont liées à l’exposition aux radiations électromagnétiques, et que ces considérations doivent être prises en compte lors de l’établissement des niveaux d’exposition et lors des projets d’installation d’émetteurs.  

-        Neil Cherry, biophysicien de l’université de Lincoln en Nouvelle-Zélande considère que la prolifération des GSM et des antennes contribue sérieusement au développement des cancers, tumeurs au cerveau et problèmes neurologiques dans la population  

-    Université de Tel Aviv : risque relatif de cancer est 4,15 fois plus élevé auprès de l’émetteur. L’étude démontre une association hautement significative entre l’incidence accrue de cancers et le fait de vivre à proximité d’une station de transmission de téléphonie mobile (attention, les ondes Gsm et wifi sont de même nature).  

-        Université de Essen (Allemagne) : les radiations des GSM augmenteraient les risques de cancer des yeux.  

-        Dr Hyland (Université de Washington) : « Les normes de sécurité existantes régissant l’exposition du public aux radiations utilisées en téléphonie mobile, sont totalement inadéquates, et la philosophie qui sous-tend leur formulation, est fondamentalement défectueuse. » 

Il ajoute que ces normes ne sont pas capables de prendre en compte le fait le plus significatif de tous : le caractère vivant de l’organisme irradié. Il recommande de maintenir les densités de puissance auxquelles le public est exposé involontairement, bien en-dessous d’un seuil qui est de l’ordre du microwatt par cm2.  

-        Et le Professeur Lay de la même université : « Il est difficile de nier que les micro-ondes à faible intensité peuvent affecter le système nerveux ». Il rapporte les effets suivants constatés à des intensités très faibles de l’exposition : modification dans la prolifération cellulaire, diminution des fonctions de reproduction chez des souris exposées, modification dans le métabolisme du calcium de cellules exposées. Souligne que la durée de l’exposition constitue un facteur important même à faible intensité. Il démontre aussi que les micro-ondes peuvent affecter les fonctions de la mémoire et de l’apprentissage.  

-        Dr Neil Cherry : « Il y a des preuves claires, publiées et vérifiables par la communauté scientifique internationale, qu’il existe des effets sérieusement dommageables pour la santé suite à des expositions aux micro-ondes dont le niveau moyen se situe en dessous de 0,1 microwatt/cm2. Elles proviennent aussi bien de la recherche sur le fonctionnement du cerveau que des études épidémiologiques ».  

-        Le syndrome des micro-ondes est décrit comme suit dans la littérature : fatigabilité, irritabilité, céphalées, nausées, effets cardiovasculaires, insomnies, risques cancérogènes, difficultés de concentration, atteinte d’organes des sens…  

-          Etude épidémiologique en milieu rural à 24-600 m d'antennes relais (exposition moyenne de 0,0005 W/m²) et en milieu urbain à 20-250 m (exposition moyenne de 0,0002 W/m²) :  Mesures effectuées dans la chambre à coucher de 365 personnes vivant à proximité de 10 antennes relais. Relation significative avec des symptômes de maux de tête (symptôme le plus significatif) et diminution de performances cognitives (en lien avec le degré d'exposition), non attribuable à la crainte des personnes vis à vis des antennes (Hutter et al. Environ Med. 2006 May;63(5):307-13. Subjective symptoms, sleeping problems, and cognitive performance in subjects living near mobile phone base stations.  

-        Von Klitzing a mis en évidence l’altération des ondes cérébrales de l’EEG par l’exposition au signal d’un téléphone cellulaire  

-        En 2002, le Journal of Cellular Biochemistry rapporte que l’utilisation lourde d’un GSM pourrait causer un cancer au cerveau ou d’autres maladies  

-    Extrait d’un journal londonien : « ce que les portables peuvent faire au cerveau des jeunes en deux minutes » : Un appel de deux minutes peut ouvrir la barrière hémato-encéphalique des jeunes et des adultes (en deux minutes !), permettant aux toxines de se libérer dans le cerveau et d’y attaquer les cellules. Il peut aussi perturber l’activité électrique naturelle du cerveau d’un enfant pendant une durée qui peut atteindre une heure, après cette utilisation de deux minutes. Les médecins attirent l’attention sur le risque éventuel dans les capacités d’apprentissage, de concentration et le fait que cela pourrait provoquer des troubles comportementaux (agressivité) et psychiatriques. Un institut espagnol de recherche sur le neurodiagnostic arrive aux mêmes conclusions.

     -        Les études du biologiste Fiorenzo Marinelli et son National Research Council team à Bologne montrent un lien entre une augmentation d’un certain type de leucémie et l’utilisation d’un GSM.

Les ondes Wifi sont de même nature que les ondes GSM .