Un enseignant-chercheur poursuivi pour avoir cité M. Valls

Chercher la personne envieuse de la place occupée par ce monsieur au sein de l'université; un haut degré de subventions implique t-il un haut degré de découvertes? Signer peut-il entraîner une perte de subventions? La qualité de nos découvertes dépend-t-elle des subventions?

Que nos actions puissent garder comme guide l'infinie fragilité de la dignité humaine et la conscience sans fards de nos profondes motivations!

L'effet "miroir"insupportable : une limite nécessaire exprimée par ce monsieur ; quelquefois dans nos actes et /ou nos mots, nous nous égarons, qu'adviendrait-il d'un monde amputé du "non"? ...

Bravo à nos enseignants qui participent à la construction de l'esprit critique! Pour que nos élèves ne deviennent pas de futurs moutons.

En admettant que se ne soit pas un sarcasme (personnellement il faut être un réel abruti pour ne pas comprendre que s'en ai un), je crois qu'il y a des choses 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 fois plus importantes dont on doit s'occuper comme par exemple la sauvegarde de notre planète, l'interdiction de guerre en tous genre où que se soit, la cohabitation totale avec tous les humains (éradication de la pauvreté) et le changement de ce système régressif, oppressif et a tendance chaotique. Bientôt je pourrais poursuivre mon voisin parce qu'il dit qu'il fait pas beau ? ! Non mais faut arrêter les conneries !

#13: René Chiche - Un scandale, encore. 

 ... Et qui va voter PS aux prochaines élections présidentielles pour "faire barrage au Front National" ? Devinez.

Montmorency, le10 janvier 2016

Les autorités universitaires qui ont cru bon de demander une sanction contre M. Christophe MILESCHI sont les dignes héritiers de toutes les autorités académiques qui en novembre 1940 ont obtenu que Gustave MONOD soit démis de son grade d'inspecteur général pour avoir refusé d'appliquer les mesures anti-juives décidées par le seul gouvernement de Vichy, avant même que les autorités d'occupation n'en formulent la demande. En ce mois de janvier 2016 où les plus hautes autorités de l’État discourent sur les libertés de conscience et d'expression, sur le droit à l'impertinence et à l'humour, osera-t-on comme il y a 75 ans, donner une prime à l'opportunisme, à la course aux places, à la lâcheté, à la servilité, à l'esprit d'intrigue et de délation ?

Claude LOUP

#412: Souviens-toi -  

Christophe Mileschi

Il est facile d'être fort avec les faibles (trainer en justice M. MEZZADRI) et faible avec les forts. Souhaitons que le tribunal rende une justice éclairée en faisant appel à l'esprit des Lumières.

Un Etat de droit devrait défendre les libertés fondamentales, dont la liberté d'expression. Quand le droit devient à géométrie variable, on peut légitimement s'inquiéter... Ce n'est qu'un exemple de plus, depuis 2012, on a été gâtés!

J'ajoute qu'au pays des 6 millions de chômeurs, il est dommage de perdre le sens de l'humour!