#4783: Visiteur - Re: :-(((

on ne se trouve même plus dans le cas présent, dans l'idée de protéger une ou plusieurs espèces végétales ou animales mais dans une idée globale de protection de la planète, de son sol, de l'environnement dans son intégralité.

#4825: Solange Tellier - Re: Re: :-((( 

 Vous avez raison, il faut étayer le dossier à opposer aux autorisations d'exploration à tous les niveaux. Des présidents de régions s'unissent en dépit de leurs divergences pour agir sur le plan administratif, des élus étudient des problèmes de procédure. Si tous les métiers du tourisme, les agriculteurs, les forestiers, les gérants de distribution d'eau potable, les associations de sport nature, les biologistes, les entreprises spécialisées en énergies renouvelables ... et les simples citoyens qui trouvent dans les espaces naturels une source gratuite de bien-être, si tous nous exposons une bonne raison de ne pas courir le risque de pollution et de préserver ce capital qui offre des services systémiques importants, nous aurons plus de force.

Il n'y a pas que le risque de fuite, il y a tout un impact en surface, déboisement de zones, routes, transport des produits. Il y a des impacts sur la valeur touristique de ces régions et l'économie qui va avec. Il en va également de l'orientation des politiques nationale, européenne et internationale en faveur de l'environnement. A quoi servent le GIEC et IRENA si on continue à favoriser les énergies fossiles. A quoi sert l'IPBES si on continue à détruire les espèces protégées.