PÉTITION BERGER BLANC

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#2383 Entrevue de la SPA avec l'infiltrateur

2011-05-12 21:11

Lien vers l'entrevue: http://www.bergerblanccruaute.com/fr/berger-blanc-cruaute-photos-videos.html#exclusive

Ce qu'on peut en conclure est qu'Anima-QC se fou du bien-être des animaux et ne fait pas sa job! Ils ne tiennent pas compte des plaintes, ferment les yeux sur les usines à chiots...

Les entreprises à but lucratif telles que (Berger Blanc, Inspecteur Canin, Lamarche et Pinard, etc.) ont tous cela en commun: - aucun soin pour les animaux car ça coûte de $, donc ça menace leur profit! Pour eux, la seule option est l'euthanasie/ chambre à gaz/ coup de masse ou ils laissent les animaux mourrir par eux-mêmes.

Le BERGER BLANC euthanasie tout ce qui bougent et se donne pas la peine de faire adopter les animaux. NON, c'est trop de travail!!!

- ILS TUENT des chattons en pleine santé qui avaient seulement des mites dans les oreilles...
- ILS TUENT une chienne et toute sa portée de chiots...

Sérieusement, ils n'ont aucune raison d'être dans notre société! DÉGAGEZ gang d'ordures!


Réponses

Coeur brisé

#2386 Re: Entrevue de la SPA avec l'infiltrateur

2011-05-12 21:53:47

#2383: - Entrevue de la SPA avec l'infiltrateur 

 J'ai les yeux pleins d'eau après avoir écouté tout ça.  Comment peut-on être si cruel?  Je n'en reviens tout simplement pas.  Je suis terriblement déçu de la position d'ANIMA-Québec qui se fout éperdûment du bien-être des animaux.  J'avais tellement espoir en eux.  Nos animaux sont considérés comme objets, comme si nous étions 1890.  C'est inimaginable!  Qu'est devenue notre province?  Une province usine à chiots, une province où l'on se foue des animaux.  Comme disait un des deux, quand un animal entre dans une fourrière à but lucratif, il est déjà mort en entrant.  Aucun effort pour la survie de ces animaux.  J'en ai le coeur défait.  Et le ministre Corbeil qui ne répond pas à nos demandes.  J'ai le coeur en lambeaux.  Je vais prendre l'air un peu.  Je n'en peux pas de constater que tous ces animaux sont traités comme si nous étions en 1890.