le dernier combat de christine

LE DERNIER COMBAT DE CHRISTINE…

INCROYABLE MAIS VRAI, A SPRIMONT IL N’Y A PAS QUE LES PIERRES DE TAILLE QUE L’ON CASSE…LES FEMMES BATTUES AUSSI !!!

Ce n’est pas par le silence que l’on combat les injustices. Toutes les révolutions naissent des cris des victimes, des sacrifices des martyrs car le silence est un laissez-passer à toutes les dérives que l’être humain est capable de commettre consciemment avec une complaisance malsaine et jouissive …je l’ai appris à mes dépens. Le silence est aussi un cancer insidieux qui dérobe les larmes, les espoirs, les droits des innocents pour mieux armer les barbares affamés de cruauté. Notre seul recours est la vérité MAIS Dieu sait combien elle est DETESTEE et ACCUSEE, c’est ce que j’appelle : LE DELIT DE VERITE !         Et c’est pour cette raison que je lance une pétition pour rétablir la dignité d’une femme harcelée et virée de son travail parce qu’elle a osé en parler et forcément DERANGER le HARCELEUR !!!

PETITION : RENDRE JUSTICE A CHRISTINE

Aujourd’hui et grâce à VOUS TOUS, gens de bonne conscience, nous pouvons briser le silence morbide comme ceux qui ont brisé le mur de Berlin. Mon combat n’est pas personnel, il concerne toutes les personnes harcelées au travail, il est le même, sur le plan moral, que celui de SERPICO, ce policier américain, lâchement abandonné par ses collègues, MEPRISE et MENACE par ses SUPERIEURS pour avoir DENONCE des INJUSTICES !!! Un film fut réalisé sur ce SORDIDE fait divers ; mon histoire n’est pas plus heureuse que la sienne, il y a juste un détail géographique qui nous différencie. Donc, moi, Christine TOUSSAINT tout comme cet HONNETE SERPICO, je veux crier haut et fort pour que s’arrêtent les incommensurables injustices dont j’ai été victime et qu’elles ne se reproduisent plus sur autrui. Celles-ci furent perpétrées et par le CPAS de SPRIMONT et par le bourgmestre Claude ANCION aidé dans cette affaire par certains petits chefs et un ex-éducateur que je surnommais affectueusement : « mon petit frère »…!!! Je précise que le bourgmestre a préféré protéger un ouvrier communal qui m’a harcelée doublement : SEXUELLEMENT durant le 2ème semestre 2014 et MORALEMENT pendant 7semaines en 2015 pour m’EVINCER de l’équipe que je venais d’intégrer.  HONTE à tous les protagonistes qui m’ont JETEE telle une PARIA et condamnée à 6 MORTS : 1) MORT PROFESSIONNELLE 2) SOCIALE 3) DE MA DIGNITE 4) D’UNE VIE DECENTE 5) DE MA RECONSTRUCTION 6) LE DROIT A UN FUTUR…TOUT SIMPLEMENT. BRAVO MESSIEURS !!!           Il est un fait indiscutable et très grave, pour avoir mon CDI en main il m’aurait fallu accepter de me soumettre non pas à une « promotion canapé » mais à ce que je nommerais plus exactement un « CONTRAT CANAPE », le terme est différent, PAS L’ACTE !!!

  VOICI MON HISTOIRE…CE QUE VOUS ALLEZ LIRE EST A PEINE SUPPORTABLE MAIS, C’EST SURTOUT UN GRAND DELIT DE VERITE…                                     

Après des années de violences conjugales, je quitte mon mari en juin 2013 et atterris à SPRIMONT, là où le CPAS m’octroie le RIS : 800€/mois ainsi qu’un logement d’urgence pour 4 mois avec l’obligation de trouver au plus vite et par moi-même un autre logement. Quelle difficulté de rencontrer un propriétaire qui accepte un locataire sans emploi ! Une situation qui constitue un obstacle infranchissable. TRAVAILLER était la seule solution et c’est sur cette LOGIQUE que mes problèmes commencèrent. En effet, au CPAS, aussi absurde que cela puisse paraitre, il y eut un bras de fer entre ceux qui ne voulaient pas que je travaille, et le seul éducateur, Raphael DENIS nommé et en place depuis plus de 10 ans, qui se battait en ma faveur pour que je puisse accéder à un article 60(contrat à durée déterminée)…c’est lui « mon petit frère » ! Grâce à son intervention, j’obtiens gain de cause ce qui déclenche chez mes détracteurs qui s’occupaient de mon dossier, une réaction de vengeance et la volonté de me recadrer pour me soumettre, alors que je commence à travailler sous les ordres de Raphael. Je comprends qu’il y a un gros désaccord entre lui et le CPAS et ce depuis longtemps, et, que le fait qu’il ait pris ma défense amplifie ce désaccord. Sous cette pression et à la demande expresse de Raphael, je vais trouver la directrice du CPAS et lui fais part des injustices dont nous sommes victimes. Là, je viens de signer mon arrêt de mort ! J’avais osé dire la vérité à une personne qui ne voulait surtout pas l’entendre et, qui de plus, se trouvait en haut de la hiérarchie ; je dérangeais cette organisation bien hypocrite, moi, la bénéficiaire comme ils adoraient nous appeler (Raphael y compris), assorti d’un air très condescendant…    Devant l’immobilisme du CPAS, et lassé de cette situation, Raphael fait sa demande pour passer côté commune. Après quelques mois il reçoit une réponse positive et un nouvel éducateur sera engagé, celui-ci est à 100% en accord avec mes détracteurs, donc à 100% contre moi. Le CPAS me fait comprendre que je vais déguster ! Il tiendra promesse !                                       Je me retrouve seule face à eux qui sont débarrassés de mon encombrant allié, à ce moment-là nous sommes en septembre 2014. Simultanément, je suis HARCELEE SEXUELLEMENT par un des 75 ouvriers communaux et je le confie à Raphael par SMS en lui demandant SURTOUT de GARDER le SILENCE… ce qu’il me promet. Je ne mets pas sa parole en doute !                     Après quelques mois, René HERMANNS, mon harceleur, cesse enfin de me pourchasser sur le chemin du retour, après ma journée de travail. Il ne m’avait pas toujours été possible de l’éviter malgré mes stratégies pour changer mon itinéraire de retour ou retarder mon départ, me cacher dans les toilettes, espérant ainsi ne pas le croiser. Vu la capacité de René HERMANNS à manipuler ses collègues et à les rallier à sa cause lorsqu’il s’acharnait sur une personne qui avait osé le contrarier ou lui avait fait une remarque déplaisante, je savais pertinemment bien que le fait de le repousser vertement, c’eut été pour moi la fin de tout espoir de pouvoir, un jour, travailler à la commune et avoir à 55ans un véritable temps plein et ainsi finir ma vie dans un simple confort mérité sans plus souffrir de la misère. Ce René HERMANNS m’avoue, pour mon plus grand plaisir, que certains ouvriers communaux ont remarqué qu’il me chargeait sur son quad bien à l’abri des regards de ses collègues. Si beaucoup d’autres m’ont proposé de me reconduire, personne de ceux-là ne se cachait de cette gentillesse, que du contraire ! Donc, pour d’aucuns, les agissements de René étaient considérés à juste titre comme hypocrites et fourbes. Mais, c’est surtout à l’issue du BBQ du 28/11/2014 organisé pour le personnel ouvrier communal que son harcèlement va redoubler d’intensité et finalement, s’arrêter définitivement. En effet, en cette fin d’après midi festive René vint à plusieurs reprises vers moi pour me chuchoter « quand tu veux partir, préviens-moi et je m’éclipserai », excédée, je lui réponds à maintes reprises, en espérant le décourager, qu’il me faut aller à la banque payer mon loyer, ce qui est la vérité. Visiblement imbibé de vin…puis de bière, obstinément, il me réitère sa volonté de me reconduire. 45 minutes plus tard et sans prévenir personne, je quitte l’assemblée le plus discrètement possible et me rends à la banque. A peine suis-je en train de donner l’ordre de virement qu’un bruit de quad me fait sursauter : René HERMANNS exécutant 4ou5 va-et-vient devant la banque. Angoissée à l’idée de devoir encore subir ses attouchements (surtout les cuisses) lorsque je suis assise derrière lui, je me cache dans un petit recoin, durant 5 longues minutes et attends de ne plus le voir passer. Je prends, enfin, le risque de quitter la banque et rentrer chez moi mais, en chemin, j’entends un bruit de klaxon dans mon dos, je me retourne…René, très alcoolisé, qui s’arrête et INSISTE pour que je monte sur son quad, je n’ose refuser. Arrivés chez moi, il me suit et entre alors que je ne l’ai pas invité. Je me place derrière mon meuble comptoir quand tout d’un coup, René fait le tour du comptoir et fonce droit sur moi. Quant à ses intentions, là, il n’y avait plus d’équivoque et mon réflexe fut de me protéger le visage des deux mains. Ca ne le décourage pas, et il m’enserre violemment, essaie de m’embrasser et n’arrive qu’à embrasser mes mains, la seule protection contre ses assauts en me susurrant des : « ma chérie, ma petite chérie… » J’essaie alors de me dégager de cet étau, et de m’asseoir sur un des tabourets de l’autre côté du comptoir…il me suit, me reprend encore pour m’enserrer avec plus de force. C’est à ce moment très angoissant que je lui crie, pour recouvrer ma liberté : « JE VAIS VOMIR ! »… Efficacité prouvée car mon harceleur me quitta immédiatement ! Je devrais même breveter ce système ; quoi qu’il en soit, je le recommande à toute femme dans ce genre de situation. Il y eut un témoin, pour une partie de cette fin d’après midi chez moi qui a déposé son témoignage à la police.         Bien après, lorsque je fis, durant une semaine en juillet 2015, une grève de la soif et de la faim pour essayer de secouer les consciences de ces bourreaux, (espoirs utopiques de ma part car on ne change pas un requin en hippocampe…et cela n’a créé qu’un va-et-vient de ces monstres hilares, arrogants  devant l’affiche qui exprimait toute ma détresse) ; dans le voisinage donc, il y eut aussi des témoins de la volonté obsessionnelle du harceleur à venir même le matin vers 6h20, faire intrusion dans mon jardin tambouriner à ma porte pour espérer me charger sur son quad. Il cessa après plus ou moins 10 jours puisque je ne descendais plus lorsque j’entendais le moteur de son quad, à l’exception de la première fois, fin septembre 2014, où j’ai été surprise de le voir planté devant ma porte semi-vitrée qui donne sur le jardin  et la seconde fois, début octobre, car je ne l’avais pas entendu arriver!                                Etant toujours en contact avec Raphael DENIS (que je considère toujours comme mon « petit frère »), il est au courant de tout ce qui m’arrive.                                 Nous sommes début 2015, Jérôme DELREZ, le nouvel éducateur, met un point d’honneur à me pourrir l’existence et à me contredire sur toutes les suggestions professionnelles que je formule !           Raphael, qui commence à travailler côté commune, est toujours nommé au CPAS ce qui l’OBLIGERAIT (contre son gré) à reprendre son poste d’éducateur si son remplaçant(J.DELREZ) ne convient pas. Eventualité inimaginable pour Raphael qui au vu des injustices que je subissais, donc, des problèmes que je dénonçais, a trouvé « plus confortable »de se rallier à la mentalité de son remplaçant, de m’enfoncer sans état d’âme, pour solidifier sa récente place à la commune ! Une manœuvre indigne et dépourvue de respect envers une personne qui l’avait défendu. Ce qu’il venait de faire pour consolider sa situation s’appelle : sacrifier une personne pour sauver sa place !!!                          Ecœurée par cette trahison, je me barricade dans l’atelier, je veux juste souffler, bénéficier d’une trêve. Pour cet acte, le CPAS me menace de me licencier et transforme, via Jérôme qui a appelé la police, cette trêve en chantage au suicide !!!... Ce n’est pas du tout ce qui fut relaté par la police !!!           A la suggestion d’une échevine (Angélique VANGOSSUM) je vais trouver le bourgmestre, Claude ANCION, et lui demande : « serait-il possible, un jour, peut-être lorsque j’aurais fini mon article 60 de travailler à la commune ?  Etant donné que j’ai 55ans, qu’à la fin de mon article 60 j’aurais 56ans et donc, aucune chance de trouver un temps plein dans le privé ! » Je lui confie aussi que je n’ai pas envie d’être une assistée (RIS ou chômage) jusqu’à ma pension et que le travail valorise la personne !  Le Bourgmestre me comprend et salue le fait que je veuille travailler.          Entre-temps, Raphael me trahit une fois de plus en « jouant »au délateur et révèle à mon harceleur les confidences que je lui avais faites, en toute confiance,…reniant ce qu’il m’avait promis. Tant que Raphael ne doit pas revenir au CPAS, toutes les techniques sont bonnes ! Comme il connait TRES BIEN son  « POTE René », il est sûr et certain de m’avoir définitivement éliminée et en sus la certitude que son protégé (Jérôme D.) restera même s’il continue à être injuste envers moi… D’ailleurs, même s’il boutait le feu à tout Sprimont, ce Jérôme était tellement formater à l’image du CPAS que tout lui aurait été pardonné !  Dès que je croise René, il me crache à la figure toute sa haine et surtout sa soif de vengeance !            C’est à ce misérable moment de ma vie que je comprends, enfin,  le jeu perfide de Raphael qui m’a manipulée depuis le début pour exprimer, via ma naïveté et la confiance que j’avais en lui, son ras-le-bol de la mentalité du CPAS, MAIS SANS SE « MOUILLER » !... A présent je ne lui suis plus d’aucune utilité, donc je peux crever !... Et je comprends que son piège favori était de se maquiller d’une empathie et d’un altruisme des plus hypocrites pour se refermer sur ses proies… Le Diable n’emprunte-t-il pas les yeux et le sourire d’un ange pour mettre en confiance ses victimes… ou l’apparence d’un archange bienveillant… ???             Simultanément, la directrice du CPAS est renseignée sur ma démarche auprès du Bourgmestre et de rage me licencie, elle a enfin sa vengeance.             Je suis en chute libre.           Ne sachant plus vers qui me tourner, puisque « mon petit frère » m’a vendue pour une bouchée de haine, je téléphone au conducteur des travaux (Eddy BERTRAND) qui me  « sembla » humain envers moi, le jour où je me suis barricadée dans l’atelier. Il me demande de lui faire confiance, d’être patiente car il doit en parler au bourgmestre ; ce qu’il fait. Trois semaines plus tard, alors que j’ai un préavis (non presté) de 14semaines, je suis convoquée dans le bureau du bourgmestre Claude ANCION, où mon futur chef (Laurent WILDERIANE, chef du bâtiment) s’y trouve tout comme Eddy BERTRAND et un nouvel échevin. Le Bourgmestre accepte de me faire travailler dans l’équipe du bâtiment (section peinture), les 11semaines de préavis qu’il me reste se transforme en une TRES LONGUE période d’essai et de plus, assortie d’une condition SNI QUA NON pour accéder à ce travail tant convoité : L’OBLIGATION DE CONSULTER UN PSYCHOLOGUE !... Humiliée par cette condition, mais n’ayant pas le choix, j’accepte pour pouvoir travailler.            23 mars 2015, j’intègre ma nouvelle équipe et dois composer avec la rancœur féroce de René HERMANNS. Durant 7 semaines, mes 11 collègues furent manipulés, pour d’aucuns, intimidés par ce René incitant de cette façon toute l’équipe à plomber l’ambiance dès que j’apparaissais pour m’écarter et m’évincer de celle-ci. Comme si ma souffrance n’était pas assez aigüe, Raphael renseignait René quant à la manière de me déstabiliser et se jouer de mon émotivité pour me mettre à genoux ; pari réussi ! Tous suivirent René le meneur.     BRAVO RENE & RAPHAEL, quelle belle union pour détruire une femme battue !!!            Le vendredi 8 mai, au matin, je craque alors que pour la première fois, j’ose parler du harcèlement moral à Fabian qui est le responsable des peintres, et lui affirme que si je voulais être aussi méchante que René, je pourrais faire valoir un témoin qui l’a vu essayant de m’embrasser chez moi à l’issue du BBQ du 28/11/2014 ! Et de ce fait être accusé de harcèlement sexuel. Fabian blêmit et me répond : « moi, j’aime bien René »… J’avais oublié que mon harceleur avait ligué TOUTE L’EQUIPE contre moi. A midi, je rentre dans l’atelier pour manger avec les collègues mais je suis vite stoppée et agressée verbalement par René et le chef du bâtiment qui me donne l’ordre de revenir à 13h00 pour une réunion avec Eddy BERTRAND, René, Fabian et une autre collègue dans le secteur peinture, Valérie qui est la meilleure amie de René et donc se faisait un plaisir de m’ignorer en ne m’adressant plus du tout la parole les dernières semaines, elle aussi grande copine avec Raphael le délateur.  A cette réunion, je suis insultée, conspuée, lynchée verbalement, menacée physiquement par mon chef, L.WILDERIANE, qui de sa main droite levée, me frôle le nez et maintient cette position en me hurlant dans un parfait style hitlérien une salve d’invectives des plus crapuleuses, à ce moments, j’ai bien cru qu’il allait me casser toutes les dents pour le plus grand bonheur de René et consorts qui se régalent de cet ignoble spectacle… Agissements d’autant plus inqualifiables que tous les protagonistes de cette « réunion » connaissent mon passé de femme battue. Eddy BERTRAND croit bon de me lancer, d’une concision brutale, les 2 dernières pierres de cette lapidation verbale, en me traitant de tête de turc et que lorsqu’on me voit, on a qu’une envie, celle de me faire souffrir !           Pour clore cette réunion, le très humain Eddy BERTRAND, en accord avec WILDERIANE, me met en congé forcé et exige que je produise mon témoin devant eux, ce tribunal de fous furieux, si je veux espérer reprendre mon travail et me fixe la date butoir au mardi 12mai. Mon témoin n’a pas témoigné devant cette horde de sauvages mais bien à la ZP SECOVA de SPRIMONT  le lundi 11mai.             Le 12mai, pour avoir une preuve j’envoie par SMS à Eddy BERTRAND qu’il peut contacter la ZP SECOVA de SPRIMONT, là où mon témoin a été  auditionné, confirmant mes dires. Heure du SMS : 13h22                                   Aucune réponse.            2éme envoi d’un SMS en attente d’une réponse positive concernant la reprise de mon travail. Heure du SMS : 16h48                               Toujours aucune réponse. Le lendemain, en désespoir de cause et très naïvement, je téléphone au Bourgmestre qui me dit : « surtout madame TOUSSAINT, ne retournez pas  travailler, je vais voir ce que je peux faire pour vous… »            J’attends, j’attends… et 6 jours ouvrables après, je reçois une lettre du CPAS m’avertissant de la suspension de ma « collaboration » avec la commune, m’accusant d’avoir été absente au travail depuis le 13mai 2015, absence non justifiée !!!!!!!!!                       QUELLE MACHINATION DIABOLIQUE ! Comme plan MACHIAVELIQUE, il n’y a pas plus insidieux, immonde pour briser une femme battue qui essayait de croire en un futur pour effacer un passé de souffrances. Je vais revoir Claude ANCION, le bourgmestre qui, contre toute attente, me méprise et me signifie que pour moi tout est fini. Je lui fais remarquer que ma seule erreur dans cette pitoyable  histoire est d’être la victime et que malgré l’existence d’un témoin oculaire, il préfère me virer et garder un ouvrier qui m’a harcelée sexuellement et moralement, ce qui m’amène à la conclusion  qu’il accorde toute sa confiance à un coupable mais moi, m’éjecter telle une paria. Le bourgmestre cautionne les agissements du harceleur et en souriant me répond : « oui, c’est ainsi, maintenant j’ai un mariage.» Donc avec le sourire, il vient de mettre un point final à ma vie en refermant la pierre tombale sur le seul travail qui aurait pu me faire vivre décemment.              A ce jour, je ne réalise toujours pas que pour un seul et unique obsédé sexuel, j’ai TOUT perdu. C’est une véritable mise à mort orchestrée par d’infâmes petits chefs et consorts, pour ne pas ennuyer leur POTE HARCELEUR, waouh quelle belle mentalité !!!... Comme le chante si bien Francis CABREL : « …je ne pensais pas que l’on pouvait s’amuser autour d’une tombe… » Je me demande comment peut-on atteindre la conscience des hommes de cet acabit ?… Quel opprobre pour la commune de SPRIMONT, affublée de bien tristes valeurs ; sommes-nous donc sous une DICTATURE pour avoir infligé à une victime une sanction aussi TOTALITAIRE parce qu’elle dit la vérité et qu’elle peut le prouver ?     A savoir encore, Raphael DENIS continue à vomir des propos diffamatoires espérant ainsi me salir et occulter la vérité pour faire diversion et essayer de redorer un blason terni, mais ce ne sont pas des mensonges qui peuvent rendre brillance, et le véritable caractère d’une personne refait toujours surface… Pauvre homme,… flanqué d’une conscience anémique ; mais, il m’aurait tiré une balle dans la tête, ça m’aurait fait moins mal !

  JE VOUDRAIS ENVOYER UN IMMENSE MERCI A TOUS LES POLICIERS QUI, DEPUIS DES ANNEES, ONT FAIT TOUT LEUR POSSIBLE POUR M’AIDER, VOUS ETES UNE ARMEE DE CHICS TYPES, MILLE MERCIS.                                                                       

SVP, N’OUBLIEZ PAS MA PETITION, MERCI.

RENDEZ_MOI MON TRAVAIL, MA DIGNITE, MA VIE CAR JE MEURS et les COUPABLES font la fête sur ma tombe !

HONTE A VOUS !  Sur mon compte, il ne me reste plus que de quoi vivre jusque fin septembre, après… ? J’ai certains enregistrements qui prouvent que moi, je ne suis pas une menteuse…ça vous dirait d’entendre en 1) mon licenciement du CPAS par la directrice qui est dans le déni total par rapport au contenu  de mon C4 reçu en recommandé ; en 2) la violente réunion du 8mai, où l’on entend bien, les insultes les vociférations…DE MES CHEFS !