Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-.

ENAMARE

#25476

2014-03-03 11:37

Hello, Les signataires chacun est libre de voter comme bon lui semble, selon sa conscience, ici pas de campagne électorale, nous ne ressemblons pas à nos élus, pour ma part et ceci me concerne, je ne voterai pas MR_PS_CDH et ECOLO et ses mêmes partis côté néerlandophone et germanophone.
Oui, certains disent voter petits partis pour enrayer les grands partis, ils ne nomment pas les partis à choisir, chacun fait comme sa conscience le lui dicte.
C’est mon opinion et pas celle de quel qu’autre.
Mon opinion personnelle, les grands partis cela fait des années qu'ils sont au pouvoir et à chaque fois c'est pour nous taxer, petites taxes deviendront grandes. Ils se sont bien enrichis avec tous leurs mandats et nos taxes. Rien à voir avec cette pétition, mais un exemple les titres services, 7,50€, puis 8,50€, maintenant 9€.
Ce sera la même chose avec cette taxe au kilomètre, vraiment c’est normal de la part de nos élus à la vue de cette pétition à +/- 70.000 signatures ont fait marche-arrière, manœuvre électorale et d’une grande hypocrisie et après les élections la lame de taxes de la guillotine tombera et là ça va faire mal à nos portefeuilles. Que de la poudre aux yeux ils nous lancent avec leurs sourires moqueurs et de plus ils osent dire qu'on ne comprend rien et que nous somme mal informés, bien Internet est une source riche d'informations, donc cela veux dire que nous sommes bêtes et endormis depuis des lunes, mais nous nous sommes réveillés.
Donc, il faut un changement, mais votons intelligemment. Du renouveau, des plus jeunes au gouvernement et pas de fils à Papa, car c’est devenu une monarchie d’élus, heureusement que nous avons un bon Roi, là c’est mon opinion Vive le Roi Philippe et longue vie aux souverains.
A chaque élection, je n’ai plus voté pour ses grands partis.
ET qu’on se le dit je ne suis pas un porte-parole de pétition, je suis ici au même niveau que tous ceux qui ont signés pour le NON et rien d’autres, n’y pour juger qui que ce soit, mais quand on m’insulte, je me défend, point barre.
Tout le monde est libre de venir ici, mais ceux qui sont pour le OUI il y a un site, rien ne sert à venir ici faire des commentaires qu’on ne lira pas.
Sur ce, bonne journée et bonne quête aux signatures.

On est soi-disant avec réserve un pays libre, donc soyaient tous libre d'expressions!

vis

#25477 Re: les 3 trolls biesses

2014-03-03 12:21


Visiteur

#25478 Re: les 3 trolls biesses

2014-03-03 12:22

vis

#25479 Re: les 3 trolls biesses

2014-03-03 12:22

#25475: - les 3 trolls biesses

???????????????????????????????????

jade

#25480 Re: les 3 trolls biesses

2014-03-03 12:24

La Victime!

#25481 Taxe au km & Co...

2014-03-03 13:19

Si ce projet passe...Cela va s'en dire que ce sera plus grave qu'en Bretagne avec les Bonnets rouges !!!
Le politique a plutôt grandement intérêt à commencer à se tenir à carreau... On atteint des limites! QUAND AURA-T-ON au POUVOIR des politiciens RESPONSABLES ??? Des HOMMES et des FEMMES avec des VALEURS ??? DES GESTIONNAIRES ayant une vue sur le LONG TERME !!! Commencez par éliminer tous les fonctionnaires qui ne décrochent même plus leur téléphone, ARRÊTEZ de les nommer à vie afin qu'ils soient à charge de l'administration publique,... RÉORGANISEZ VOS SERVICES afin qu'ils soient PRODUCTIFS et RENTABLES !!! ET STOPPEZ de nous VOLER notre argent comme des mendiants qui ne savent plus trop comment faire pour s'en sortir! "Un SALARIE BELGE paye 85 % d'IMPOTS et de TAXES quand on prend en compte les cotisations patronales, impôts, taxes communales en tout genre, TVA, taxes d'importations, taxes déchets/circulation/essence/tabac/Immobilier"... CA SUFFIT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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#25482 Re: Taxe au km & Co...

2014-03-03 13:28

#25481: La Victime! - Taxe au km & Co...

Ils sont en train de tuer la poule aux oeufs d'or!

 


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#25483

2014-03-03 13:28

les véritables problèmes, se situe non seulement dans l'entrave de la protection de la vie privée et du contrôle des autorités, mais aussi dans les énormes dépenses des citoyens,qui ne va faire qu'empirer dans leur budget
et lorsque l'on sait que la majorité des citoyens ont de grandes difficultés pour subvenir aux besoins des familles, et qu'en plus il faudrait payer pour aller travailler, vous constaterez combien cette taxe provoquera une plus grande pauvreté dans notre société, mettant des barrières à nos déplacements.
Toutes les professions seront touchées par le paiement de cette taxe-
-professions libérales de la santé,des entreprises,des sociétés,des fournisseurs en alimentation,vestimentaire,médicale,des collectivités et de toute l'économie aux dépens, des citoyens belges et autres citoyens venant de l'étranger.

Des risques aussi trop élevés pour la vie privée, et de l'ingérence de vouloir nous pister dans le comportement des personnes.

Citoyens, ne vous laissez pas berner.après mai 2014.


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#25484

2014-03-03 14:19

Bande de merdes!

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#25485 Pour le maintien de la pétition

2014-03-03 15:35

En Belgique une piqûre d’Elio-caïne, vient endormir les douleurs financières des Citoyens Belges. La TVA va baisser sur l’électricité, mais en revanche, les salaires auront un index qui progressera moins.
C’est donc une opération blanche pour tout le monde. Sauf pour le gouvernement qui ainsi, quelques mois avant les élections, redore son blason. La majorité des gens ne va retenir que « cet Etat paternel a baissé la TVA ». Voilà un gouvernement qui prend des décisions purement électoraliste. L’Elio-caïne est un excellent médicament, personne n’a rien vu. L’effet de l’analgésique se dissipera progressivement.

Et pour ce qui se prépare, il faudra pour chacun des doses équines d’anesthésique performant. Voici ce qui se passerait si vous laissez les mêmes au pouvoir lors des élections de mai 2014. Peu de gens ont réalisé que le pillage des comptes – toutes épargnes confondues – est pour bientôt.Le FMI emploie des hauts fonctionnaires, sans le moindre mandat démocratique, qui engrangent des salaires mirobolants. Cette organisation aux objectifs douteux, concocte depuis quelques mois le casse du siècle pour l’ensemble des pays de la zone euros.
La préparation d’un nouveau méga cambriolage se fait à visage pratiquement découvert, et en bandes organisées. Qui sont donc les pillards qui élaborent ce piratage ?

- Tous les gouvernements des pays concernés,
- La Commission Européenne,
- Le FMI, Banque Mondiale, et autres institutions financières satellites.

Rien que pour la Belgique, 250 milliards d’euros dorment sur des comptes. Tout est connu du fisc, puisque l’Etat a obligé les banques à tout dévoiler. Et ceci est vrai dans toute la zone concernée.

Le FMI a déjà préparé le terrain en lançant des annonces tests, qui il faut l’avouer n’a pas beaucoup fait réagir les populations. Les politiques se frottent les mains, et avec la Commission préparent les filets pour que personne n’échappe.
Le délit en pleine préparation : prélever de force au minimum 10 % (des chiffres circulent jusqu’à 30 %) sur tous les comptes d’épargne de la zone Euro. Les scenarii sont variés, car pour éviter une révolution, des simulations sont en cours. Avec ou sans tranche épargnée ?
- Parlons planification. Il ne faut pas avoir une boule de cristal pour prévoir le moment idéal. Vous avez compris que la piraterie ne se fera pas avant les élections européennes. Cela déstabiliserait irrémédiablement les résultats voulus par les états et l’UE. On peut tabler que cela interviendra en juillet ou août 2014, quand tout le monde se précipitera avec fièvre vers des lieux plus exotiques pour les vacances.
- L’excuse utilisée sera : il faut combler absolument la dette des états et relancer les économies. A noter que se sont les états qui ont été incapable de gérer les dépenses et les banques qui ont créé des bulles financières qui ont fait craquer tout le système.
- Qui sera touché. Tous ceux qui ont patiemment épargné pour acheter un bien immobilier, pour avoir un matelas pour leurs vieux jours, pour rénover leur logement, pour pouvoir donner une éducation à leurs enfants.

Nous pouvons déjà vous dire que les résultats de cette ponction ne serviront à rien. En effet, le système n’aura pas été modifié, les mêmes organisations mafieuses qui organisent ce casse seront toujours en place et la consommation tombera au plus bas….. s' il n’y a pas une révolution, comme celle qui s’est passé en Islande…

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#25486

2014-03-03 17:06

c'est du n'importe quoi vos projet

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#25487

2014-03-03 17:07

bonne de grosse merde vous crevez de faim

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#25488

2014-03-03 18:53

vous parlez d'un pays ou le droit d'expression est libre ?
un dirigeant qui réclame ses 600.000 euros de prime de départ qu'il n'a pas va passer à la TV, à la radio, dans les journaux
et tout ceux qui réclament des sommes folles on les entend
mais ceux qui réclament leur indemnités d'accident https://13360.lapetition.be il n'y a pas une ligne
et c'est la même chose pour les petits partis, dès qu'un parti important a un rhume, il passe à la TV et tous les médias, et les autres ils brassent dans le vide pour qu'on les écoute
belle démocratie, et heureusement que certains se battent pour les autres
signez ça peut changer toute votre vie pour un petit moment un clic....et celle de vos enfants aussi n'oubliez jamais que ce que vous faite aujourd'hui c'est aussi pour les générations qui arrivent.

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#25489 Pour le maintien de la pétition

2014-03-03 19:42

La démocratie… Vous connaissez ? Nous ne croyons pas que les partis au pouvoir comprennent ce mot.
Le Gouvernement appuyé par des études d’écolos, de socialistes, et des « Collabos » de la Febiac, mettront tout en œuvre pour changer vos comportements dans votre auto.

Ce boîtier-traqueur vous suivra dans vos moindres trajets en voiture. Le but est de vous taxer en fonction du moment, du trajet et du type de voiture.

Paraît-il cela règlerait les embouteillages dans les grandes villes. Nous ne sommes pas le 1er avril, il faut arrêter d’intoxiquer.

Voilà encore une magnifique idée pour vous dépouiller. On vous dira que cela remplacera équitablement la taxe de circulation. C’est évidemment un mensonge, nous n’avons jamais vu de taxe remplacer une autre à la baisse. Il faut laisser cela pour les contes de fées.
Les détraqués écologiques et autres zélotes anti-voitures ont détérioré volontairement la fluidité du trafic, en enlevant des bandes de roulage pour les donner à des cyclistes qui sont inexistants. Ils y ont ajouté pour faire bonne mesure des chicanes et autre gadgets de l’infrastructure pour créer des embouteillages afin d’accuser les voitures. Sans oublier la volonté délibérée de ne pas installer un système de synchronisation des feux.
Le raisonnement de la Febiac est tout simplement biaisé par la pression des élus actuels.
Nous refusons tout simplement cet espionnage, qui nous relèguera définitivement au rang de citoyens-zombies.


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#25491

2014-03-04 00:15

La vérité sort de la bouche des chroniqueurs financiers, quand ils s’en donnent la peine ! Un article de l’AGEFI hebdo, qui traite de « tous les métiers de la finance », éclaire sous un jour détaillé nouveau la situation des banques européennes, au cœur et non plus à la périphérie de l’Europe : celui de la création des bad banks, ces structures de défaisances où les banques parquent leurs actifs toxiques, à moins qu’elles n’utilisent des formules plus discrètes.

C’est en Autriche, où trois banques sont déjà contrôlées à 100% par l’État et une quatrième à 43%, qu’émerge une affaire de taille, car les trois grandes banques privées du pays – Erste Bank, Raiffeisen et Unicredit Bank Austria – refusent la création d’une bad bank privée dont elles détiendraient 51% des parts, faute d’obtenir la suppression de la taxe nationale sur les banques, destinée à alimenter un fonds de garantie mais qui est versée au budget de l’État. Sauf à accepter une faillite de Hypo Group Alpe Adria (HGAA), la plus mal en point de trois banques déjà nationalisées, la création d’une bad bank soutenue par l’État semble inévitable, d’autant que l’exposition des banques autrichiennes en Ukraine (7,8 milliards de dollars) ainsi qu’en Slovénie est importante.

Deux bad banks sont répertoriées en Espagne et en Irlande – la Sareb et la Nama – et la création d’une autre est officiellement à l’étude en Italie. Mais lorsque l’on gratte un peu, on trouve ici et là des structures discrètes internes aux banques ainsi que des silos externalisés d’actifs en attente de leur sort. Le gouvernement allemand a créé des agences chargées de la liquidation d’actifs à grande échelle, EEA (Erste Abwicklungsanstalt) et FMS Wertmanagement. La première a reçu en deux fois 200 milliards d’euros d’actifs toxiques, et est cautionnée par des associations de caisse d’épargne de Rhénanie et de Nord-Westphalie (un montage dont la solidité n’est pas garantie), la seconde est soutenue par le gouvernement fédéral. EEA est sensée être dissoute en 2027, ce qui laisse le temps de voir venir mais ne résout rien.

Quand elles ne sont pas évacuées en attendant des jours meilleurs, les pertes sont dissimulées. D’où l’importance des discussions sur la méthodologie de leur évaluation, cette méthode éprouvée qui permet de glisser les miettes sous le tapis. La presse grecque fait ainsi état d’un besoin de recapitalisation des banques du pays de 5 à 6 milliards d’euros, tandis que le FMI les chiffre à près de 20 milliards ! Tout le monde y met son grain de sel, les derniers en date étant le fonds BlackRock et Ernst&Young. Ces questions de méthodologie font bien entendu l’objet de négociations avec la Troïka. Afin de recapitaliser les banques grecques, 50 milliards d’euros ont déjà été octroyés par les créanciers de la Grèce, dont 40 ont été utilisées. Faut-il s’étonner que les besoins avoués soient inférieurs au solde disponible ?

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#25492

2014-03-04 00:16

La désinflation se poursuit en Europe, selon l’Office fédéral des statistiques allemand. En Allemagne, le taux d’inflation diminue de mois en mois, passé de 1,4 % en décembre à 1,3 % en janvier, et désormais à 1,2 % en février. Pour la zone euro, il était selon Eurostat de 0,8 % en janvier en valeur annuelle, et en première estimation identique en février.

La Commission européenne table sur une inflation de 1 % en 2014 et de 1,3 % en 2015, et estime que le danger de déflation est marginal, en raison du « renforcement progressif de la reprise et du regain de la confiance ». Mais ses annonces s’inscrivent dans une longue tradition de prévisions erronées et biaisées pour le besoin de ses démonstrations. L’INSEE en France et l’Office fédéral des statistiques en Allemagne ont par contre annoncé de quoi s’interroger : l’inflation sous-jacente (excluant les prix volatiles de l’énergie et des produits agricoles) a été mesurée à 0,1 % en valeur annuelle en France, et les salaires diminuent en valeur réelle (hors inflation) en Allemagne.

Justifiant l’inaction de la BCE, Mario Draghi affirme que « les projections d’inflation pour la zone euro à moyen terme continuent d’être fermement ancrées » et se refuse à voir dans la situation actuelle un sujet d’inquiétude. Mais il reconnait que « nous allons rester en état d’alerte concernant l’émergence de nouveaux risques sur la stabilité des prix et sommes prêts à agir ». La BCE s’appuie désormais sur des « anticipations d’inflation » dont on se demande comment le calcul en est maitrisé dans une situation qui continue d’être hors normes. En janvier dernier, le taux d’inflation néerlandais a ainsi pris au dépourvu les analystes après avoir chuté de 1,4 % en décembre à 1,2 %…

Plusieurs facteurs durables sont à l’œuvre et concourent à la désinflation : l’appréciation de l’euro et la baisse du prix des matières premières, mais également les effets de la dévaluation interne (c’est-à-dire de la baisse des salaires), aboutissant à une croissance atone et faisant obstacle au désendettement. Ce qui a conduit Wolfgang Münchau à titrer sa chronique du Financial Times du 23 février dernier « L’Europe n’a pas les moyens d’ignorer son problème de déflation », considérant qu’elle pourrait bien y être déjà confrontée.

Pour les analystes à la recherche de points d’appui permettant de comprendre ce problème, et d’indices le signifiant, la désinflation et le maintien d’un chômage très élevés devraient tenir la corde. Mais lors du dernier G20, les ministres ont une fois de plus manié des chiffres ronflants et annoncé que « des politiques ambitieuses et réalistes » allaient contribuer à doper la croissance de deux points supplémentaires d’ici à 2018 et à créer « de nombreux emplois ». Il n’aurait pas été inutile de préciser comment ils comptent s’y prendre !

L’Europe serait-elle entrée dans une japonisation rampante, toute aussi dangereuse que la déflation de laquelle le Japon cherche à sortir sans que cela soit encore probant ? La BCE admet que « le fait d’avoir une inflation basse pendant une période prolongée constitue un risque en soi », tandis que la Commission européenne reconnait qu’ « une inflation très faible sur une période prolongée dans la zone euro entraînerait des risques pour le rééquilibrage de l’économie ». Malgré qu’elle a comme effet de renchérir le coût de la dette et de freiner la croissance et le désendettement, à l’exact opposé de ce qui est revendiqué, la désinflation est un enjeu qui n’est pas reconnu à sa juste valeur, car cela impliquerait une remise en cause de la stratégie poursuivie en Europe, pour laquelle il n’y a pas de remplacement.

Non sans un certain courage pour un membre du corps de l’inspection des finances, appelant « à dépasser nos conformismes intellectuels », Michel Rocard préconise dans le quotidien français L’Opinion le financement de la dette publique par la BCE, car « l’orage menace » devant le niveau atteint par la dette mondiale et « il faut sortir de cet étau ». Mais ne faut-il pas regretter cet escamotage du problème de la dette, au lieu d’en affronter les causes ? Les ressources financières ne manquent pas pour rembourser le coût occasionné aux États par la crise financière, ce n’est qu’une question d’allocation de celles-ci. Et remédier aux inégalités éviterait de recommencer à gonfler la dette à l’avenir.

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#25493

2014-03-04 00:19

les plus en pointe (les autres ont parfois au moins une heure de retard !) ; Sur la question historique en Ukraine, il y a bien sur , celle des KHAZARS, dont personne ne parle, d’où (aussi) l’implication mondialiste…ici un bon RÉSUMÉ Général . Une 3e guerre mondiale rode depuis quelques mois, attendant son heure, au moment où notre civilisation, s’effondre … et où la face du monde se transforme (restructuration géopolitique) , définitivement

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#25494

2014-03-04 00:33

J-P. Petit : « Le lobby nucléaire international recueille les fruits d’un bourrage de crâne qui dure depuis des décennies. Vous n’êtes pas sans remarquer l’importance énorme qu’a pris la télévision, dans le sens d’un abrutissement orchestré des populations. Il y a 20 ou 30 ans, avant le développement de médias parallèles, d’Internet, certains décelaient déjà la trace d’une opération de lavage de cerveaux de plus en plus évidente. » LVdlR : Y aurait-il, selon vous, quelque chose de voulu, une … conspiration ? J-P. Petit : « Dans tous les cas de figure, cet abrutissement est voulu. Dans quel but ? La question reste ouverte. Mais il y a une chose qui mène le monde, depuis l’aube des temps, c’est le redoutable mélange entre la cupidité et la bêtise. Ma statistique personnelle, depuis longtemps, est qu’il n’y a que 5 % d’individus capables de penser par eux mêmes, capables de réfléchir, de faire preuve d’esprit critique, d’une certaine autonomie au plan moral, et sur lesimple plan de la raison. A cela il faut ajouter 20 % d’inconscients, qui sont dévorés par leur égoïsme, leur ambition et leur … paranoïa. Ainsi, quelqu’un qui appartient à ces 20 % estime que la recherche d’un pouvoir le plus grand possible est une question de survie, pour lui, pour les siens, pour son ethnie, son pays, position qui confère à ses yeux tous les droits. » LVdlR : Et que deviennent les 75 % restants ? J-P. Petit : « Ceux-là sont manipulables à merci, dans n’importe quel sens. On peut les endormir, créer chez eux la peur, les assujetir, les dresser contre un autre groupe, les faire se battre les uns contre les autres, à petite ou à grande échelle. On peut les apauvrir jusqu’à la dernière extrémité, sans qu’ils se révoltent.

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#25495 Re:

2014-03-04 08:21

#25494: -

les 75 % restants ) le peuple est fort, mais il ne le sait pas.


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#25496

2014-03-04 08:58



Beaucoup d’attention a récemment été portée sur la disparition de la classe moyenne aux Etats-Unis, ainsi que sur la fin du rêve Américain. Alors que les études ayant été faites à ce sujet sont pour la plupart pointilleuses, elles n’en prêtent pas moins à confusion. Le modèle traditionnel des trois classes – haute, moyenne et inférieure - répertorie les citoyens d’une nation selon leurs revenus nets. L’un des problèmes majeurs de ce modèle est que le sentiment d’appartenance à une classe plutôt qu’à une autre est une affaire personnelle. Le tas de ferraille d’un homme peut être l’opulence d’un autre. Cette appartenance subjective, au même titre que cette évaluation arbitraire des frontières entre les classes, entraîne peu à peu l’apparition d’une guerre entre les classes dans de nombreux pays Occidentaux. Une telle représentation est ainsi sans aucune valeur, sinon décevante, puisqu’elle réunit en une même catégorie différents acteurs qui n’ont pas le sentiment d’appartenir à une même classe.



Le défaut principal de ce modèle réside en le fait qu’il se concentre sur les revenus des citoyens plutôt que d’étudier la provenance de ces revenus. Une meilleure perspective serait sûrement d’observer les deux classes dominantes que sont la classe politique et la classe économique, ainsi que la troisième classe émergeante.



Le boucher, le boulanger, et le fabricant de bougies – la classe économique



La classe économique, du moins pour ce qui concerne les Etats-Unis, représente historiquement le groupe dominant, bien que ces dernières décennies, cette dominance ait considérablement diminué. La classe économique est traditionnellement surnommée ‘secteur privé’, mais même ce terme est devenu trompeur pour les raisons que nous développerons plus loin.



Les membres de la classe économique fournissent des biens et services recherchés par les consommateurs et payés à des prix que le marché est en mesure de supporter. La classe économique compte dans ses rangs des fermiers, des ingénieurs, des mineurs, des artistes, des physiciens, des concierges, des gardes de sécurité, des marchands et des cadres. Ils participent librement et compétitivement au marché libre grâce à l’utilisation des principes économiques de la division du travail et de la loi de l’avantage comparatif afin d’augmenter la richesse d’une société aussi bien que la leur. Les ressources humaines, de capital et entrepreneuriales collaborent dans le but de satisfaire aux besoins des marchés. Ce sont là des règles économiques standards qui, je l’espère, seront comprises de mes lecteurs. Le facteur qui définit au mieux la classe économique n’est pas la quantité de monnaie qu’elle gagne, mais plutôt sa participation au marché libre.



Le fainéant voleur de grand chemin – la classe politique



Tous comme les membres de la classe économique, ceux de la classe politique ne sont pas à proprement parler définis par leurs revenus, mais par leur influence sur le marché. Alors que les membres de la classe économique s’engagent ouvertement et volontairement sur le marché, les membres de la classe politique emploient la contrainte et la tromperie pour atteindre leurs objectifs politiques. Cette contrainte et cette tromperie peuvent être exercées directement ou par le biais d’intermédiaires. Les membres les plus évidents de la classe politique sont, quelle surprise, les politiciens. Ce groupe inclue les individus élus à quelque échelon du gouvernement que ce soit, ainsi que les nombreux officiels nommés par le gouvernement.



Il existe un deuxième groupe distinct appartenant cette classe politique, qui comprend les lobbyistes, les démarcheurs d’influence, et autres solliciteurs du gouvernement. Ces créatures servent de représentants pour un troisième groupe distinct, composé d’un patchwork d’entités commerciales ayant appris qu’employer un homme aux connections politiques haut-placées remplace la nécessité de créer une organisation commerciale efficiente, voire même dans certains cas le besoin de création d’un produit désirable.



De plus, il est bien connu que les membres de la classe politique migrent couramment d'un groupe à un autre. La conséquence malheureuse de cette possibilité pour un acteur économique de passer d’un groupe à un autre est que le mérite n’est plus le facteur le plus important. De ce fait, aucune industrie ne concentre plus sur autre chose que sur la recherche de profit par le lobbying. Depuis le complexe militaro-industriel jusqu’aux subsidides agricoles, en passant par le système bancaire corrompu, la classe politique s’attribue inexorablement une part croissante de l’activité économique.



L'inefficacité des subventions, la destruction intentionnelle de biens de production et la confiscation de propriété sont certaines des conséquences d’un recours à la force par la classe politique en vue de servir ceux qui sont ‘plus égaux que les autres’. Cet arrangement peut être décrit par le fait que l’activité économique de la classe économique place le pouvoir de négociations entre les mains de l’acheteur alors que l’activité économique de la classe politique place le pouvoir de négociations entre les mains du vendeur. Cela entraîne de graves perturbations au sein du système d’échange de biens et services, ainsi que de mauvaises allocations de capital parce que les entreprises ajustent leur pratiques aux volontés de la classe politique plutôt qu’à la loi de l’offre. D’année en année, l’intrusion de la classe politique dans la sphère économique grandit à tel point que les marchés libres deviennent l’exception plutôt que la norme.



Parce que la classe économique opère dans le domaine de l’échange volontaire, et que la classe politique emploie la force pour parvenir à ses objectifs, qui pour la plupart sont aux antipodes de ceux de la classe économique, des quantités de ressources significatives doivent être dédiées par la classe politique à l’achèvement de ses objectifs. Ce rôle a traditionnellement été placé entre les mains du secteur militaire et des organisations judiciaires, ainsi que de nombreux départements et agences de régulation.



Depuis le rôle des militaires qu’est la protection des intérêts de la classe politique, jusqu’à celui du fisc qui est de permettre au Trésor de remplir ses coffres, en passant par le rôle de la sécurité sociale, de la police dont l’objectif est de maintenir un certain niveau de peur parmi la populace, le niveau de contrôle dont la classe politique a besoin pour maintenir et étendre sa captation de ressources productives est stupéfiante. Du fait de la croissance de la classe politique, l’étendue de la branche chargée de faire appliquer la loi s’est également accrue.



Paradoxalement, pour des raisons que nous verrons brièvement plus loin, l’allégeance de cette branche chargée de faire appliquer la loi ne va ni à la classe politique qu’elle sert, ni à la classe économique qu’elle ‘asservit’. Au fil du temps, sa sphère d’influence augmente jusqu’à ce qu’elle devienne une caste à part entière.



Cette branche représente la caste prétorienne.

Visiteur

#25497

2014-03-04 09:19

Parler c est bien beau, agir c est mieux
vis

#25498 Re:

2014-03-04 09:40

MIA,,,VOTONS PETIT PARTIS

#25499 taxe kilométrique

2014-03-04 09:54

@ENAMARE
slt, tu dit dans ton commentaire 25476 qu'au moins 70.000 On retirer leurs signatures??
ça me semble impossible car le 21/02 le nombre était de(172.266)et aujourd'hui le 04/O3 le nombre est de (172.958)----- il y a une augmentation de 692 Signatures en plus!
je ne vois pas où il en manque 70.000!

ENAMARE

#25500 Re:

2014-03-04 11:15

#25476: ENAMARE - CONCERNE LE COMMENTAIRE 25476 A +/- 70.000 SIGNATURES A CE MOMENT LA NOS ELUS ONT FAIT MARCHE ARRIERE

A +/- 70.000 SIGNATURES A CE MOMENT LA NOS ELUS ONT FAIT MARCHE ARRIERE